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Affaire Adam Boulifa: Mariem Dabbegh clame son innocence

Mariem Dabbegh, invitée de Hédi Zaïem dans Noujoum, a assuré ce samedi 23 novembre 2019 qu’elle avait passé une semaine catastrophique après le décès du jeune Adam Boulifa au Madison samedi dernier.

«Je n’ai rien sur la conscience, sinon le fait qu’un jeune homme a perdu la vie dans un espace public», a-t-elle assuré. 

Mariem Dabbegh a assuré qu’elle est payée pour faire des apparitions dans des restaurants et des espaces publics. «En principe, je faisais cela tous les jeudis au Madison, mais à cause d’un autre travail imprévu  j’ai reporté cette apparition au samedi de la même semaine". 

L’invitée de Noujoum a fait savoir que 70% de ce qui a été relaté sur elle dans les médias et sur les réseaux sociaux est faux. «Je n’ai même pas vu Adam et il n’était pas entré en contact avec moi. J’étais dans une loge VIP. J’ai vu qu’il y avait une autre loge où un groupe célébrait un anniversaire… Pour la vidéo qui a circulé, celui qui filmait était concentrée sur moi et pas sur la bagarre qui a éclaté. Je n’ai découvert qu’il y a eu altercation et violence qu’une fois sortie de l’espace», a expliqué Dabbegh.

Et d'ajouter: ''Je n’ai rien remarqué de spécial, sinon un mouvement d'un groupe de serveurs et de vigiles  non loin de moi. Je n’ai senti qu’il y avait un problème qu’une fois la musique interrompue. J’ai établi le lien entre la suspension de la musique et la bagarre, une fois sortie par l’issue de secours, c qui est une habitude pour moi. A aucun moment je n'ai eu de contacts avec le défunt. A ma sortie, j’ai trouvé dix agents de police. Pour ne pas paniquer j’ai été pressée de rentrer chez moi. C’est à ce moment que j’ai appris qu’une personne était morte''. 


Choc

Mariem Dabbegh a assuré qu’elle est rentrée chez elle sous le choc. C’est le choc de ma vie. Mes amis qui se trouvaient chez moi n’ont rien compris. Je me suis couchée directement. 24 heures après, en consultant Instagram j’ai tout découvert. C’était le deuxième choc. J’ai vu les images de la victime et par la suite mes photos au Madison. Je ne m’attendais en aucun cas que mon nom soit associé à cette affaire.  Même mon père s’est iniquité suite à cette vague. Il m’a même demandé si j’avais des liens avec cette affaire. 

La semaine s’est passée sous traitement. Je prenais des pilules pour pouvoir dormir. «Je ne suis pas été interrogée par la police. Je n’ai pas quitté ma maison et les caméras de surveillance prouvent ceci. Je n’ai pas quittée mon lit et j’ai éteint mes téléphones. Je souhaite être entendue par la police pour que cette affaire soit clause». 


Menaces

Mariem Dabbegh a déploré le fait qu’elle soit impliquée dans un meurtre. "Comment peuvent-ils m’impliquer dans cette affaire. Ma voiture a été vandalisée et j’ai reçu des menaces très graves de plusieurs personnes et groupes. J’ai eu des messages de menace et je compte saisir la justice. Je suis sérieusement des menaces et un individu a même menacé ma mère. L’Etat assume la responsabilité de ce débordement et la menace constante contre ma personne", a conclu Mariem Dabbegh. 

 

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